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l'amour gay
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6 février 2009

un bel homme

Un beau blond se présente à la réception de l’hôtel où je travaille, afin de récupérer les clefs de sa chambre. Pas mal le gars, grand, athlétique, belle gueule, mi-quarantaine, souriant, parlant français avec un accent Hollandais qui ne trompe pas. « Je ne vous ai pas vu hier soir » Me dit-il avec un grand sourire, « Non, c’était mon jour off, mais je me permets de vous souhaiter la bienvenue avec un peu de retard » lui répondis-je professionnellement.

Il s’en va en me remerciant et je regards de dos se type attirant et sympa. Je vaque à mes occupations quand soudain le téléphone sonne, et je remarque sur le switchboard que c’est cet hollandais, chambre 228.

— Réception bonsoir »
— Bonsoir, jeune homme, j’ai oublie mes clefs de voiture sur le comptoir, pourriez vous me les ramener ?

Je jette un œil, et effectivement derrière les brochures, le trousseau s’y trouve

Je vous les amène de suite, répondis –je

Dans l’ascenseur, je me demande si cet oubli est volontaire, ou non ? Serait-ce de la drague ? Ma foi, pourquoi pas, je suis bisexuel, donc l’envie et le désir d’un bel homme comme celui-la me fait doucement pense que l’après-service pourrait être intéressant, surtout que je finis dans une bonne heure, donc………..

Devant la porte, je frappe doucement et il me répond de rentrer, que c’est ouvert.

Une fois a l’intérieur, je lui remets les clefs, et il me remercie d’un grand sourire, un verre a la main, et me le tend. Je lui réponds que je ne bois pas pendant le service, mais il insiste, et point faible de ma part, je ne puis refuser.

Il m’explique qu’il est en ville pour affaire, qu’il ne connaît personne ici, et me demande conseil pour savourer une bonne soirée. Ce genre de question toujours difficile à répondre sans connaître les goûts et désirs me laisse soupirer, tout en réfléchissant.

De suite, sans attendre ma réponse, il me met une main sur la jambe, et me propose de l’accompagner après mon service. Je ne laisse passer aucune réaction, mais ne retire pas sa main pour autant, chose qu’il considère pour une invitation à aller plus loin.

Sa main remonte doucement sur mon sexe, tout en pressant doucement avec ses doigts, et le résultat ne se fait pas attendre, une petite érection, qui vite devient grosse et dure sous son massage digital. Il me tend ses lèvres, et je réponds à son baiser, en oubliant mon boulot horaire.

Nos mains se caressent mutuellement, et je sens qu’il devient bien dur aussi à travers son pantalon. Il a l’air d’être bien gâté, vu ce que je tiens dans ma main, et mon désir de « femelle » prend le dessus.

Je lui ouvre la braguette, et commence à le lécher à travers son caleçon, ensuite j’écarte le bout de tissus inutile, et effectivement, ce mec est monte bien comme il faut. Un beau vit, surmonter d’un gland mauve et gros a souhait, me fait lécher les babines, et de suite, sans attendre, je le prends en bouche. Il sent bon le sexe, propre, mais avec cette typique odeur de sexe, qui a marine une journée de boulot dans un slip. Je le dévore littéralement, le suçant sauvagement, ma langue gigotant du bas jusqu’au méat, pour ensuite l’enfoncer jusqu’au gosier, m’arrêtant juste avant le hic de nausée, quand ça va trop loin dans le fond de la gorge. Je le regarde dans les yeux, la bouche pleine, et ma main ne reste pas sans rien faire. Tout en le branlant, je continue à l’astiquer et ses soupirs ne trompent pas qu’il apprécie mes caresses.

Soudainement, je le sens grossir un peu plus encore, me retient la tête, et m’annonce qu’il ne va plus tenir. Etant en uniforme, je ne puis salir mes habits, et décide de garder sa queue en bouche. Plusieurs jets de sperme viennent couler dans le fond de ma gorge, et que j’avale avec grand plaisir. Ah ce goût, c’est peut-être ce que je préfère dans mes relations avec les hommes, cette sensation de salé, chaud et liquoreux qui glisse doucement dans le fond de la bouche. Je le suce jusqu’à la dernière goutte, en prenant soin de ne rien cracher, afin de protéger ma chemise de toute trace suspecte.

Ma fellation terminée, je me relève, et lui dis que je dois retourner à mon boulot, car mon collègue ne va pas apprécier une si longue absence.

Il me remercie d’un baiser et me confirme notre sortie du soir, chose que j’accepte avec plaisir.

Mon service terminé, je lui téléphone et lui demande de me rejoindre au bar du coin de la rue, comprenant bien que je ne puis rentrer dans sa chambre pour des raisons facile à imaginer.

Dix minutes plus tard, nous voila attablé avec un verre de vin, et il me félicite pour ma prestation de tout à l’heure. Je le remercie d’un sourire et lui réponds que ce n’était qu’un début. Il me propose un restaurant en ville, je lui propose l’après resto chez moi.

Nous dégustons un poisson, agrémenté d’un champagne, Monsieur ne fait pas de détail, a ce que je vois, et l’addition réglée, nous nous dirigeons vers mon appartement pas trop loin de la.

Je lui propose un digestif, et nous nous asseyons dans le divan, continuant notre petite discussion du resto, mais en étant plus intime dans le croisement de nos jambes, et des petites caresse furtive le long du corps de chacun.

Il me prend la tête et m’embrasse tendrement, joignant sa langue à la mienne, et le grand jeu commence. Nous nous caressons partout et en moins de 5 minutes, nous sommes nus, bandés et excités à souhait.

Il se met a genou par terre, et approche sa bouche de mon sexe qui n’attend que ça, et le lèche doucement comme un chat, sans oublier mes couilles, il remonte, en agitant sa langue, et me prend lentement dans sa bouche, ses deux mains sur mes cuisses qu’il maintient écartées, afin d’avoir accès ou il le désire. Je fais du mouvement de bassin en fonction de sa succion, et ferme les yeux savourant cette caresse buccale experte. Je suis prêt à venir, mais ne le désire pas, et lui demande de se calmer, vu que la soirée est encore longue. Pour toute réponse, il soulève mes cuisses d’un mouvement brusque, et je me retrouve en arrière, lui présentant mon petit trou à sa langue, qu’il s’empresse de venir déguster. Il a une langue souple, mais ferme, et me caresse, plus qu’il ne me lèche mon anus d’une manière brusque, mais effective. Ce sentiment de picots qui remonte le long de la colonne, cette terminaison nerveuse qui amène un sentiment de bien-être que tout amateur de feuille de rose connaît et apprécie.

Il pénètre de la pointe de sa langue dans mon fondement en y mettant une pression forte mais sans brutalité. Je sens mon anus s’ouvrir doucement a ses caresses, et des soupirs sortent de ma bouche sans vraiment les décider.

Il a un côté macho que j’aime, non pas que je raffole des machos, mais dans le sexe, il est bon de se soumettre à un homme qui décide et frise la domination, d’où mon côté femelle écrit auparavant. Il me glisse un doigt qu’il me fait lécher, et doucement rentre et sort tout en tournant de sa phalange, afin d’écarter ce muscle pour un futur proche qui s’annonce pas mal.

Il me fait lever, et me pousse dos au mur, me croisant les bras au-dessus de la tête, et les fixant de sa main droite. Avec la gauche, il me titille très doucement mon sexe en érection, et me lèche sur les flancs, jusqu’a sous les bras, en passant par mes tétons. C’est étrange, mais très bon. Je ferme les yeux et savoure son côté rude de sa langue, et un très léger toucher sur ma queue et mes couilles. C’était vraiment une expérience enrichissante, qui met les nerfs à vif, et qui m’amène dans un niveau d’en demander encore. À ce moment, j’aurais bien voulu qu’il m’attache véritablement les mains, afin d’être entièrement à sa disposition.

Il me roule un patin d’enfer, et m’emmène de nouveau sur le divan en position de levrette.

Sa langue retourne à mon anus afin de le lubrifier, se protège d’une capote, un peu de gel, et pose son gland à l’entrée. Il pousse doucement et le gland rentre assez facilement, vu son travail, et mon expérience, il ne met pas longtemps à se trouver au fond de moi. Je le sens bien, gros et puissant, il me claque les fesses et commence le mouvement de va-et-vient, lentement d’abord en accélérant doucement la cadence. Je lui suis offert totalement, et commence à gémir à chaque butée. Ses couilles viennent frapper la base des miennes, il me tient fermement par les hanches et m’encule allègrement. J’ai des bouffées de chaleur, et la jouissance anale arrive tel un flash. Je crie maintenant que c’est bon, qu’il aille plus fort et plus profond. Je transpire à grosses gouttes et m’écroule. Mes bras ne me tiennent plus, ce qui lui offre encore plus mon cul qu’il continue à pénétrer fortement.

A ce moment, il commence à me branler vivement tout en étant en action, et je crache ma semence sur le divan. Un gros jet de sperme vient finir sur le coussin, suivit de trois ou quatre autres en quantité abondante, vu l’excitement depuis ma fellation à l’hôtel fait que la puissance de l’éjaculation, allant de paire avec l’intensité m’emmène dans une jouissance extrême et continue. De plus, il maintient la masturbation après éjaculation, chose qui me fait grimper au ciel. Il me propose ses doigts souilles par ma semence et je les lèche avec gourmandise.

Il se crispe, émet un cri rauque et jouit en moi longuement. Il reste un temps encore, me prend par les épaules et se fait plus tendre dans ses mouvements. Ensuite il se retire doucement de mon fondement en me disant que j’étais un sacre coup. Une fois dehors, il me masse l’anus doucement de ses doigts, et m’embrasse longuement en me remerciant.

On se blottit dans les bras l’un de l’autre, et reprenons nos esprits pendant quelques minutes. Je lui propose un verre et restons longtemps à se relaxer afin de reprendre des forces.

Nous remettons ça un quart d’heure plus tard, mais en changeant de position. Couché sur le divan, mes jambes sur les épaules, il m’a pénétré encore longuement mais plus en douceur cette fois. Pendant toute la pénétration, il me branle doucement afin de maintenir mon érection pendant la sodomie. Il a un feeling extraordinaire pour me maintenir en état d’avant éjaculation, mais sans aller trop loin. Il se retire, se débarrasse de sa capote, et nous nous plaçons en 69 afin de se terminer ensemble. Au moment de jouir, il se lève et crache toute sa substance sur mon visage et dans mon cou. Il a encore des quantité non négligeable de réserve et je m’empresse de le nettoyer complètement avec ma bouche.

Il reprend ensuite sa fellation et accueille tout mon sperme aussi en facial.

Nous allons enfin prendre une douche réparatrice, et hormis quelques caresses, nous restons sage.

Il est rentré à l’hôtel, et est parti le matin avant que je ne commence à travailler.

J’ai bien apprécié ce côté brutal, sans être du tout douloureux ou quoi que ce soit, il avait un don de dominer sans être du tout dans le SM, mais plutôt me faire sentir femme soumise qui de plus un peu salope. C’est peut-être ça que je cherche dans ma relation avec les hommes, moi qui suis plutôt dominant avec les femmes et que, apparemment elles apprécient. Une fois de plus, être dominant ou soumis dans mes termes ne comprend absolument pas de sado-masochisme, mais dans l’amour ou le sexe, l’un des deux doit prendre le dessus afin de satisfaire le " dessous".

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Commentaires
J
sympa comme aventure ^^
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