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l'amour gay

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6 février 2009

un bel homme

Un beau blond se présente à la réception de l’hôtel où je travaille, afin de récupérer les clefs de sa chambre. Pas mal le gars, grand, athlétique, belle gueule, mi-quarantaine, souriant, parlant français avec un accent Hollandais qui ne trompe pas. « Je ne vous ai pas vu hier soir » Me dit-il avec un grand sourire, « Non, c’était mon jour off, mais je me permets de vous souhaiter la bienvenue avec un peu de retard » lui répondis-je professionnellement.

Il s’en va en me remerciant et je regards de dos se type attirant et sympa. Je vaque à mes occupations quand soudain le téléphone sonne, et je remarque sur le switchboard que c’est cet hollandais, chambre 228.

— Réception bonsoir »
— Bonsoir, jeune homme, j’ai oublie mes clefs de voiture sur le comptoir, pourriez vous me les ramener ?

Je jette un œil, et effectivement derrière les brochures, le trousseau s’y trouve

Je vous les amène de suite, répondis –je

Dans l’ascenseur, je me demande si cet oubli est volontaire, ou non ? Serait-ce de la drague ? Ma foi, pourquoi pas, je suis bisexuel, donc l’envie et le désir d’un bel homme comme celui-la me fait doucement pense que l’après-service pourrait être intéressant, surtout que je finis dans une bonne heure, donc………..

Devant la porte, je frappe doucement et il me répond de rentrer, que c’est ouvert.

Une fois a l’intérieur, je lui remets les clefs, et il me remercie d’un grand sourire, un verre a la main, et me le tend. Je lui réponds que je ne bois pas pendant le service, mais il insiste, et point faible de ma part, je ne puis refuser.

Il m’explique qu’il est en ville pour affaire, qu’il ne connaît personne ici, et me demande conseil pour savourer une bonne soirée. Ce genre de question toujours difficile à répondre sans connaître les goûts et désirs me laisse soupirer, tout en réfléchissant.

De suite, sans attendre ma réponse, il me met une main sur la jambe, et me propose de l’accompagner après mon service. Je ne laisse passer aucune réaction, mais ne retire pas sa main pour autant, chose qu’il considère pour une invitation à aller plus loin.

Sa main remonte doucement sur mon sexe, tout en pressant doucement avec ses doigts, et le résultat ne se fait pas attendre, une petite érection, qui vite devient grosse et dure sous son massage digital. Il me tend ses lèvres, et je réponds à son baiser, en oubliant mon boulot horaire.

Nos mains se caressent mutuellement, et je sens qu’il devient bien dur aussi à travers son pantalon. Il a l’air d’être bien gâté, vu ce que je tiens dans ma main, et mon désir de « femelle » prend le dessus.

Je lui ouvre la braguette, et commence à le lécher à travers son caleçon, ensuite j’écarte le bout de tissus inutile, et effectivement, ce mec est monte bien comme il faut. Un beau vit, surmonter d’un gland mauve et gros a souhait, me fait lécher les babines, et de suite, sans attendre, je le prends en bouche. Il sent bon le sexe, propre, mais avec cette typique odeur de sexe, qui a marine une journée de boulot dans un slip. Je le dévore littéralement, le suçant sauvagement, ma langue gigotant du bas jusqu’au méat, pour ensuite l’enfoncer jusqu’au gosier, m’arrêtant juste avant le hic de nausée, quand ça va trop loin dans le fond de la gorge. Je le regarde dans les yeux, la bouche pleine, et ma main ne reste pas sans rien faire. Tout en le branlant, je continue à l’astiquer et ses soupirs ne trompent pas qu’il apprécie mes caresses.

Soudainement, je le sens grossir un peu plus encore, me retient la tête, et m’annonce qu’il ne va plus tenir. Etant en uniforme, je ne puis salir mes habits, et décide de garder sa queue en bouche. Plusieurs jets de sperme viennent couler dans le fond de ma gorge, et que j’avale avec grand plaisir. Ah ce goût, c’est peut-être ce que je préfère dans mes relations avec les hommes, cette sensation de salé, chaud et liquoreux qui glisse doucement dans le fond de la bouche. Je le suce jusqu’à la dernière goutte, en prenant soin de ne rien cracher, afin de protéger ma chemise de toute trace suspecte.

Ma fellation terminée, je me relève, et lui dis que je dois retourner à mon boulot, car mon collègue ne va pas apprécier une si longue absence.

Il me remercie d’un baiser et me confirme notre sortie du soir, chose que j’accepte avec plaisir.

Mon service terminé, je lui téléphone et lui demande de me rejoindre au bar du coin de la rue, comprenant bien que je ne puis rentrer dans sa chambre pour des raisons facile à imaginer.

Dix minutes plus tard, nous voila attablé avec un verre de vin, et il me félicite pour ma prestation de tout à l’heure. Je le remercie d’un sourire et lui réponds que ce n’était qu’un début. Il me propose un restaurant en ville, je lui propose l’après resto chez moi.

Nous dégustons un poisson, agrémenté d’un champagne, Monsieur ne fait pas de détail, a ce que je vois, et l’addition réglée, nous nous dirigeons vers mon appartement pas trop loin de la.

Je lui propose un digestif, et nous nous asseyons dans le divan, continuant notre petite discussion du resto, mais en étant plus intime dans le croisement de nos jambes, et des petites caresse furtive le long du corps de chacun.

Il me prend la tête et m’embrasse tendrement, joignant sa langue à la mienne, et le grand jeu commence. Nous nous caressons partout et en moins de 5 minutes, nous sommes nus, bandés et excités à souhait.

Il se met a genou par terre, et approche sa bouche de mon sexe qui n’attend que ça, et le lèche doucement comme un chat, sans oublier mes couilles, il remonte, en agitant sa langue, et me prend lentement dans sa bouche, ses deux mains sur mes cuisses qu’il maintient écartées, afin d’avoir accès ou il le désire. Je fais du mouvement de bassin en fonction de sa succion, et ferme les yeux savourant cette caresse buccale experte. Je suis prêt à venir, mais ne le désire pas, et lui demande de se calmer, vu que la soirée est encore longue. Pour toute réponse, il soulève mes cuisses d’un mouvement brusque, et je me retrouve en arrière, lui présentant mon petit trou à sa langue, qu’il s’empresse de venir déguster. Il a une langue souple, mais ferme, et me caresse, plus qu’il ne me lèche mon anus d’une manière brusque, mais effective. Ce sentiment de picots qui remonte le long de la colonne, cette terminaison nerveuse qui amène un sentiment de bien-être que tout amateur de feuille de rose connaît et apprécie.

Il pénètre de la pointe de sa langue dans mon fondement en y mettant une pression forte mais sans brutalité. Je sens mon anus s’ouvrir doucement a ses caresses, et des soupirs sortent de ma bouche sans vraiment les décider.

Il a un côté macho que j’aime, non pas que je raffole des machos, mais dans le sexe, il est bon de se soumettre à un homme qui décide et frise la domination, d’où mon côté femelle écrit auparavant. Il me glisse un doigt qu’il me fait lécher, et doucement rentre et sort tout en tournant de sa phalange, afin d’écarter ce muscle pour un futur proche qui s’annonce pas mal.

Il me fait lever, et me pousse dos au mur, me croisant les bras au-dessus de la tête, et les fixant de sa main droite. Avec la gauche, il me titille très doucement mon sexe en érection, et me lèche sur les flancs, jusqu’a sous les bras, en passant par mes tétons. C’est étrange, mais très bon. Je ferme les yeux et savoure son côté rude de sa langue, et un très léger toucher sur ma queue et mes couilles. C’était vraiment une expérience enrichissante, qui met les nerfs à vif, et qui m’amène dans un niveau d’en demander encore. À ce moment, j’aurais bien voulu qu’il m’attache véritablement les mains, afin d’être entièrement à sa disposition.

Il me roule un patin d’enfer, et m’emmène de nouveau sur le divan en position de levrette.

Sa langue retourne à mon anus afin de le lubrifier, se protège d’une capote, un peu de gel, et pose son gland à l’entrée. Il pousse doucement et le gland rentre assez facilement, vu son travail, et mon expérience, il ne met pas longtemps à se trouver au fond de moi. Je le sens bien, gros et puissant, il me claque les fesses et commence le mouvement de va-et-vient, lentement d’abord en accélérant doucement la cadence. Je lui suis offert totalement, et commence à gémir à chaque butée. Ses couilles viennent frapper la base des miennes, il me tient fermement par les hanches et m’encule allègrement. J’ai des bouffées de chaleur, et la jouissance anale arrive tel un flash. Je crie maintenant que c’est bon, qu’il aille plus fort et plus profond. Je transpire à grosses gouttes et m’écroule. Mes bras ne me tiennent plus, ce qui lui offre encore plus mon cul qu’il continue à pénétrer fortement.

A ce moment, il commence à me branler vivement tout en étant en action, et je crache ma semence sur le divan. Un gros jet de sperme vient finir sur le coussin, suivit de trois ou quatre autres en quantité abondante, vu l’excitement depuis ma fellation à l’hôtel fait que la puissance de l’éjaculation, allant de paire avec l’intensité m’emmène dans une jouissance extrême et continue. De plus, il maintient la masturbation après éjaculation, chose qui me fait grimper au ciel. Il me propose ses doigts souilles par ma semence et je les lèche avec gourmandise.

Il se crispe, émet un cri rauque et jouit en moi longuement. Il reste un temps encore, me prend par les épaules et se fait plus tendre dans ses mouvements. Ensuite il se retire doucement de mon fondement en me disant que j’étais un sacre coup. Une fois dehors, il me masse l’anus doucement de ses doigts, et m’embrasse longuement en me remerciant.

On se blottit dans les bras l’un de l’autre, et reprenons nos esprits pendant quelques minutes. Je lui propose un verre et restons longtemps à se relaxer afin de reprendre des forces.

Nous remettons ça un quart d’heure plus tard, mais en changeant de position. Couché sur le divan, mes jambes sur les épaules, il m’a pénétré encore longuement mais plus en douceur cette fois. Pendant toute la pénétration, il me branle doucement afin de maintenir mon érection pendant la sodomie. Il a un feeling extraordinaire pour me maintenir en état d’avant éjaculation, mais sans aller trop loin. Il se retire, se débarrasse de sa capote, et nous nous plaçons en 69 afin de se terminer ensemble. Au moment de jouir, il se lève et crache toute sa substance sur mon visage et dans mon cou. Il a encore des quantité non négligeable de réserve et je m’empresse de le nettoyer complètement avec ma bouche.

Il reprend ensuite sa fellation et accueille tout mon sperme aussi en facial.

Nous allons enfin prendre une douche réparatrice, et hormis quelques caresses, nous restons sage.

Il est rentré à l’hôtel, et est parti le matin avant que je ne commence à travailler.

J’ai bien apprécié ce côté brutal, sans être du tout douloureux ou quoi que ce soit, il avait un don de dominer sans être du tout dans le SM, mais plutôt me faire sentir femme soumise qui de plus un peu salope. C’est peut-être ça que je cherche dans ma relation avec les hommes, moi qui suis plutôt dominant avec les femmes et que, apparemment elles apprécient. Une fois de plus, être dominant ou soumis dans mes termes ne comprend absolument pas de sado-masochisme, mais dans l’amour ou le sexe, l’un des deux doit prendre le dessus afin de satisfaire le " dessous".

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3 février 2009

mon copain d'enfance

En ce Dimanche après-midi, alors que j’étais en vacances, je me rendais à la gare pour récupérer un copain. Il s’appelait Michel. Je le connaissais depuis maintenant plus de dix ans. En fait, je le voyais tous les étés, sur mon lieu de vacances. On s’entendait parfaitement bien. Ces dernières années, on s’était un peu perdu de vue. En effet, lui ayant une copine vivant relativement loin de chez lui, il profitait des vacances pour aller la voir. Un mois avant ce Dimanche, il m’avait appelé en m’expliquant qu’il souhaitait venir à Paris pour qu’on puisse se revoir. De mon côté, je n’étais que moyennement chaud car les vacances étaient courtes et je voulais passer du temps avec ma copine. Sur son insistance, j’acceptais. Lui était à nouveau disponible car sa copine l’avait quitté quelques semaines auparavant. Je me rendais donc à la gare et l’attendais en début du quai d’arrivée de son train. La poignée de main fut très chaleureuse. Nous décidons d’aller boire un coup dans un café. Nous passons ainsi la fin d’après-midi à nous remémorer nos bonnes histoires du passé. Il semblait très affecté par l’abandon de sa copine à laquelle il tenait particulièrement. Je lui proposais d’aller passer la soirée dans ma chambre de cité universitaire. En effet, je pensais que nous serions plus tranquille que chez mes parents. En fait, je lui cédais ma chambre pour la nuit tandis que je prenais celle de ma copine.

Nous avons dîné rapidement dans un self situé non loin de ma chambre, puis nous regagnons tout suite après, la cité universitaire fort calme en cette période de congés scolaires. Nous nous installons dans ma chambre et commençons à discuter de différents sujets. La discussion s’oriente assez rapidement vers le souvenir des expériences sexuelles que nous avons eu en vacances avec les mêmes filles. Pendant que nous parlons, je ne peux m’empêcher de repenser à la façon de nous avons découvert le sexe tous les deux. On avait eu quelques jeux de " touche pipi ". Je me rappelle d’un été où un jour, nous avions décidé de ne pas aller à la plage. Nous étions restés à la maison à jouer aux cartes. Celui qui perdait la partie devait subir le bon vouloir de l’autre. Cela n’allait évidemment pas très loin.. Le gagnant enlevait le maillot de bain de l’autre et décidait par exemple qu’on devait s’embrasser sur la bouche ou s’allonger nu l’un sur l’autre. Mais après coup, en étant un peu plus âgé, je me suis dit que cela aurait pu être intéressant d’aller plus loin pour savoir ce que cela faisait. Par la suite, avec d’autres copains, il m’était arrivé d’avoir des séances de branlettes collectives comme le font beaucoup d’adolescents. Parfois, je masturbais un copain puis c’était lui qui me masturbait. Une fois, alors qu’un copain se faisait une branlette et que je le regardais, il éjacula. Le problème, c’est qu’il risquait d’en mettre partout. Je recueillis donc tout dans ma main. Prétextant d’aller me laver les mains, en fait, je décidais de lécher le sperme qu’il y avait déposé. Je pris un énorme plaisir à avaler sa semence.

Enfin pour en revenir à mon copain Michel, j’avais très envie de poursuivre ce que nous avions entamé des années auparavant. Michel qui était très maigre à son adolescence, s’était plutôt rembourré depuis notre dernière rencontre. Je prétextais donc de vouloir voir son bide pour lui faire ouvrir son pantalon. Je pus effectivement constaté qu’il avait augmentait de volume à ce niveau là. Mais en réalité, c’était d’avantage la taille de son sexe qui m’intéressait. Je me souviens que son pénis avoisinait les 17 à 18 cm au repos et près de 21 à 22 cm en érection. Je me lançais en lui demandant si son sexe était toujours aussi grand. Il descendit un peu son jean pour me faire constater qu’effectivement son engin était toujours d’une bonne taille. Je poussais le vis en lui demandant ce qu’il en était en érection. Il souligna que pour observer cela, il fallait se mettre au travail. Je lui proposais de le masturber mais, il m’indiqua que cela avait relativement peu d’effets sur lui. D’après lui, le moyen le plus efficace pour qu’il y parvienne serait qu’on lui fasse une fellation. Je fis le gars un peu dégoûté. En réalité, je mourrais d’envie de faire cette expérience. Il finit de me convaincre en m’indiquant qu’après cela, il me ferait à son tour une fellation. Finalement, j’acceptais. Je lui proposais donc qu’on se déshabille entièrement pour être plus à l’aise. Une fois nus tous les deux, on s’installa sur le lit. Michel était allongé sur le dos m’offrant sa queue encore mole tandis que pour ma part j’avais déjà une érection respectable. Je n’avais finalement encore jamais joué avec une queue non circoncise. Cela m’intriguait assez de manipuler son prépuce. Je commençais à lui titiller le gland encore couvert avec la langue. Telle une glace, je lui léchais la tige de haut en bas passant également sur ses testicules. Il y prenait visiblement beaucoup de plaisir puisque sa queue prenait des proportions importantes. Lui prenant l’engin en main, je le décalottais lentement puis le recalottais plusieurs fois. Une fois que sa bitte avait atteint sa taille maxi soit environ 22 cm, je le décalottais définitivement le gland et enfournais le tout dans la bouche. Je ne pouvais l’enfoncer complètement dans ma bouche car elle était bien trop longue. Je montais et descendais en accélérant progressivement le mouvement.

Au bout d’une bonne dizaine de minutes, je sentais qu’il se raidissait se rapprochant probablement de l’orgasme. Je lui demandais donc de me prévenir avant son éjaculation de façon à ce que je puisse me retirer avant qu’il ne décharge. Il insistais pour que je prolonge ma pipe jusqu’à ce qu’il se vide. Je lui disais ne pas avoir très envie qu’il me décharge son foutre dans la bouche. Il insista en disant que son sperme avait un goût très agréable. En effet, sa copine lui faisait souvent des fellations jusqu’à l’orgasme et avalait systématiquement son jus alors qu’elle refusait de la faire avec tous ses anciens copains dont elle n’appréciait pas le foutre. Je finis par accepter. Je poursuivais donc ma pipe. Il se contracta puis déchargea une quantité impressionnante de liquide laiteux au fond de ma gorge. J’ai cru que cela ne s’arrêterais jamais. J’avais de la peine à tout avaler. Il en coulait le long de ma bouche. Lorsque cela cessa, je nettoyais tout ce qui traînait autour de mes lèvres. Je débarrassais également tout ce qui restait sur son gland encore tout gluant. Il m’expliqua qu’il n’avait plus éjaculé depuis plusieurs semaines justifiant ainsi la quantité de semence dont il m’avait gratifié. À mon tour, je me mis sur le dos lui présentant ainsi ma bitte bien bandée. Il la prit en bouche complètement sans trop de mal. Il faut dire qu’elle n’a pas les mêmes proportions que la sienne puisqu’elle ne dépasse pas les 15 cm en érection. Il montait et descendais assez rapidement sur ma queue faisant monter du même coup le plaisir. Il ne fallut pas plus de 5 minutes avant que je ne me déverse dans sa bouche. Je lui expédiais 4 giclées qu’il avala facilement. Il est vrai que la quantité était bien moindre que celle que j’avais due absorber.

Michel avait très envie que l’on poursuive. Je n’y étais pas opposé. Il me proposa de me sodomiser. Je n’étais pas très chaud compte tenu de la taille de son engin. De plus, mon anus était vierge. Il n’avait jamais été pénétré par autre chose que mes doigts. Cela ne me préparait pas vraiment à recevoir pareil engin. Il m’indiqua qu’il me lubrifierait bien le trou du cul avant de me pénétrer comme il le faisait avec son ex copine qui, d’après lui, n’avait jamais souffert de ses assauts rectaux. Bien au contraire, il me dit qu’elle y prenait beaucoup de plaisir et lui en réclamait à chacun de leur rapport. Je me plaçais donc à quatre pattes sur le lit. Aussitôt, il commença à me lécher la rosette. Je trouvais cela très agréable. Une fois qu’il avait déposé un maximum de salive, je lui pris la bitte et lui déposait à mon tour une bonne quantité de salive en la suçant. Je crois que maintenant tout était prêt pour qu’il m’encule. Il positionna son gland contre mon trou et commença à pousser. Au début, ce fût assez douloureux. Puis, je finis par y prendre du plaisir. Il avait alors sa bitte entièrement dans mon cul. Il entama ses va-et-vient en me tenant par les hanches. Tantôt, il allait vite, parfois il s’enfonçait lentement. Il poursuivit ainsi pendant près d’un quart d’heure. Il m’informa qu’il arrivait au bout. Je lui demandais de se vider sur mon cul. Il reprit alors ses mouvements quelques instants puis sortit sa queue et explosa sur mon cul et mon dos. Il m’expédia encore une fois une quantité importante de foutre qui se déposa jusque dans le milieu de mon dos. Il prit soin de tout étaler sur mes fesses et mon dos. Je me retournais en enfournant sa bitte dans ma bouche pour la nettoyer complètement profitant du goût mélangé de son sperme et de mon orifice annal. À mon tour, j’avais très envie de lui fourrer les fesses. Il prit donc ma place sur le lit et je commençais à lubrifier son petit trou en le léchant abondamment. Je ne me contentais pas de cela, je passais également ma langue sur toutes ses fesses descendant jusqu’à ses couilles poilues ce qui visiblement le faisait beaucoup jouir. Je plaçais enfin mon gland à l’entrée de son cul et je poussais lentement. J’étais maintenant totalement enfoncé dans ses fesses. Je m’activais largement en d’amples va-et-vient.

Le plaisir montait en moi. Je sortis ma queue de son trou, pris ma bitte en main et après quelques mouvements de va-et-vient, je déversais un flot de foutre sur ses fesses. À mon tour, j’étalais le tout avec mon gland prenant bien soin de nettoyer les dernières traces de foutre sur mon bout. Sa queue avait repris de la vigueur. Il me demandait de m’allonger sur le lit. Il vint s’installer sur mon torse. Il présenta sa queue à l’entrée de ma bouche. Je démarrais une nouvelle fellation. Je lui léchais également les couilles, les prenant même en bouche l’une après l’autre. Pendant ce temps, mes mains se plaçaient sur son cul. J’introduisais mon majeur dans son anus encore bien lubrifié. Il vint placer sa rosette au-dessus de ma bouche. Je lui introduisis ma langue dans le trou. Puis, je repris à nouveau ma pipe. Je crois qu’il n’était pas loin de l’orgasme. Je lui demande alors de se reculer. Il s’installe sur mon ventre. Je prends sa queue en main et débute une branlette. C’est partie. Il lâche sa purée. Il pose sa main sur la mienne pour accélérer le mouvement sur sa bitte. Les premières giclées atterrissent sur mon visage, puis sur mes cheveux, dans la bouche que j’ai grande ouverte, les derniers jets se déposant sur mon torse. Quel plaisir ! Tout ce qui s’est déposé à proximité de ma bouche, je le nettoie avec ma langue. Je lui demande de s’installer sur le dos sur le lit. Il relève ses jambes pour permettre d’avoir accès à son anus. Me voilà repartis à lui sucer sa bitte toute molle. Je lèche également avec délectation ses grosses couilles. Son anus est resté légèrement ouvert du faite de la précédente sodomie. Cela me permet d’y introduire facilement ma langue, ce qui le fait gémir. Je me prépare à l’enculer de nouveau. Cette fois, la pénétration se fait comme dans du beurre. Je le bourre sans ménagement. Il y prend visiblement beaucoup de plaisir et moi aussi. Tout en lui défonçant le cul, je joue avec sa queue. Quel plaisir de branler une bitte aussi grande et grosse. Avec mes doigts, j’essuie le précum qui coule de son gland et le porte à ma bouche. C’est un vrai nectar. Cette fois, il me faut m’activer une grosses dizaine de minutes avant que je ne sente le jus monté. Puis, je finis par exploser lui déversant ma crème dans l’intestin. Je lui mets ensuite ma bitte dans la bouche pour qu’il la nettoie complètement. Sa queue a de nouveau retrouvé sa taille normale. Je place mon cul au-dessus de sa bitte bien dure. J’écarte les fesses et j’introduis son engin en totalité dans mon petit trou. Je m’agite sur lui en faisant rentrer et sortir sa bitte de mon cul. Je me suis bien habitué à ces dimensions et maintenant je prends un plaisir immense à le sentir au fond de moi.

Après un quart d’heure de pénétration, il me lâche sa semence dans l’intestin et aussitôt je m’empresse de venir lécher ce qui reste sur son gland. Cette fois, nous sommes tous les deux épuisés. Je pense que ma queue ne serait supporter une nouvelle érection. Je commence à avoir un peu mal. Pour une première, je pense que j’ai eu ma dose. On finit par s’endormir l’un à côté de l’autre. Le lendemain matin, je me réveille avant Michel. Je le vois nu à côté de moi, ce qui est vision agréable même pour moi qui avant hier soir n’était pas un adepte des relations homosexuelles. Sa queue toute mole semble me lancer un appel. Je la prends en main et commence à l’astiquer. Je la porte à ma bouche et entreprend un fellation. Cela a pour effet de réveiller Michel qui ouvre les yeux avec un large sourire. Il me propose d’aller prendre une douche et de continuer cela en même temps. Nous nous rendons à la douche. Je me place à genou devant lui et reprends ma pipe. Son engin n’a aucun mal à récupérer ses dimensions habituelles. Cette fois, je la mets en totalité dans ma bouche. Il atteint le fond de ma gorge. Au bout de 10 minutes à peine, il me lâche une quantité impressionnante de foutre. Moi qui croyais lui avoir vider les couilles la veille, j’en fus surpris mais je réussis à ne pas en perdre une goutte. Contrairement aux autres fois, il ne débanda pas. Il souhaitait me sodomiser. Il mit du gel douche sur mon anus et enfonça aussi sec sa queue dans mon cul. Il partit dans dix minutes de va-et-vient infernaux qui se terminèrent par une éjaculation abondante dans mon intestin. À mon tour, je me place derrière lui et lui masse le trou avec du gel. Sans hésitation, je lui fourre ma bitte très dure dans le cul. Je suis dans un état d’excitation intense. Je le besogne violemment et me vide à mon tour dans son cul. C’est beaucoup plus calmement que se terminent la douche et également le séjour de Michel.

2 février 2009

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2 février 2009

A la fac

Ceci est une histoire qui m’est arrivé quand j’étais étudiant en fac, j’avais 23. Tout se passait merveilleusement pour moi à l’époque, je réussissais dans les études, et dans la vie j’avais une copine, Anne, avec qui je projetais de faire ma vie. Seule ombre au tableau, je vivais encore chez mes parents. Mais j’avais des moyens très limités. Donc je ne sortais pas beaucoup et les seuls amis que je voyais étaient un peu de mon type, travailleurs et couche-tôt. En fait d’amis je n’en n’avais vraiment qu’un, Cédric, que j’avais rencontré l’année de maîtrise. Nous nous étions tout de suite très bien entendus sur le plan intellectuel, par ailleurs il plaisait beaucoup à Anne si bien que nous nous voyions régulièrement tous les trois, pour aller au cinéma par exemple. Avec Anne nous ne pouvions nous voir vraiment que le week-end, du moins quand mon travail me le permettait, et étions obligés d’aller soit chez mes parents, soit chez les siens, ce qui était très pesant. Mais nous nous aimions très forts. Je l’appelais tous les jours, et notre grand moment à tous les deux était celui des 15 jours de vacances que je nous octroyais chaque année. Notre amour était relancé à chaque fois par ce moment de grande intimité, et de grande sensualité aussi.

Sinon tout mon temps était consacré à l’étude. Même Cédric je le voyais surtout parce que nos domaines d’études étaient proches. Les rares fois où il sortait avec nous c’était surtout pour faire plaisir à Anne qui trouvait que je passais trop de temps avec lui et pas assez avec elle et qui avait développé une sorte de jalousie. Un truc en tout cas que j’avais interprété comme ça. Dès la naissance de ce sentiment j’ai commencé à ressentir une très légère gêne. Oh pas grand-chose, mais suffisamment pour que je sois un peu plus attentif. Je me justifiais toujours quand je devais voir Cédric, même quand Anne ne me le demandait pas. Je refusais de le voir sans raison. J’attribuais ça au fait que je voulais préserver mes seuls moments de ’libre’ pour Anne.

Mais les occasions de travail avec Cédric se multipliaient. Non content de nous voir aux cours, de manger ensemble le midi au restaurant universitaire, il n’était pas rare que je passe ensuite chez lui vers le début de soirée pour taper un truc sur son ordinateur, ou discuter avec lui d’un problème que je savais qu’il pourrait résoudre mieux que moi. Le fait qu’il ait un ordinateur et pas moi me disculpait un peu. Mais pas totalement puisque le père d’Anne en avait un aussi, sur lequel il m’était arrivé de travailler mais j’expliquai à Anne, qui regrettait cette occasion de nous voir, que c’était plus simple d’aller chez Cédric qui non seulement vivait seul, on était donc tranquille, mais surtout il était très compétent en informatique, ce qui me permettait par là même de combler des lacunes. Elle l’acceptait. Que n’aurait-elle accepté pour moi ! Juste elle était déçue de me voir moins. Son amour ne faiblissait pas et le mien non plus.

De fait ma relation avec Cédric était quelque chose de nouveau pour moi. Jamais je n’avais eu un ’meilleur ami’. J’avais vécu une enfance très solitaire, très proche de mes parents. Et à l’adolescence j’avais eu très vite une espèce de succès auprès des filles ce qui m’avait éloigné de ces amitiés viriles d’avant les amours. Avec lui c’était avant tout comme je l’ai dit un commerce intellectuel. Ce qui ne veut pas dire que je n’aimais pas sa présence physique. Au contraire, je le trouvais objectivement assez beau, un genre de type assez bcbg, qui plaisait lui aussi aux filles. Par ailleurs je lui trouvais quelque chose de féminin, dans les yeux, en amande, et dans la bouche aussi, au dessin très fin. Cela je me le disais pour faire comme je me le répétais intérieurement " le tour de la question ", et mieux comprendre ce qui se jouait dans cette amitié.

Vers la fin de l’année il y avait un mémoire et je décidai cette année de le taper chez Cédric. Anne le prit très mal et m’imposa de ne pas la voir jusqu’à ce que j’ai fini mon travail. Elle avait quand même dit qu’on passerait les vacances ensemble. Mais j’étais mal. Elle n’avait pas le droit de m’imposer ses humeurs, de me faire une sorte de chantage affectif alors qu’elle savait très bien qu’à tous les points de vue c’était mieux pour mon travail qu’il se fasse chez Cédric. Je lui en voulais un peu aussi. Mais j’étais surtout triste. Du coup, je me suis lancé à corps perdu dans le travail. J’arrivai chez Cédric vers 10 heures le matin, on prenait un café, et il partait bosser à la Bibliothèque universitaire tandis que je me mettais à bosser sur sa machine. À midi on ne se voyait pas je mangeais un sandwich en vitesse, et le soir par contre quand il revenait on dînait ensemble soit chez lui, soit exceptionnellement au restaurant, quand vraiment on n’avait pas envie de se faire à manger. Puis, en général, on se faisait lire notre travail de la journée. Il me passait son portable, et il lisait sur le pc. On discutait ensuite assez longtemps, et il n’était pas rare que, faute de bus, je sois obligé de rester coucher. Il me mettait un matelas par terre, et le tour était joué, sauf qu’il fallait le lendemain que je mente à mes parents et surtout à Anne. Il ’fallait’ ! En fait il ne fallait rien du tout mais le fait qu’Anne m’ait déjà posé un problème avec le fait que je fasse mon mémoire chez Cédric m’incitait à ne pas trop en dire. Les mensonges se répétaient.

Et fatalement Anne l’a su. Après une scène terrible on a décidé de se séparer. On se reverrait en septembre, et on verrait à ce moment là. Je n’allais plus très bien. Cédric m’a alors proposé de rester chez lui jusqu’à la fin de mon travail. Et j’ai accepté parce que je trouvai du réconfort à être avec lui plutôt que tout seul entre mes deux parents. À commencé dès lors à se mettre en place une relation plus intime, je veux dire fondée sur des choses autres que les études. Je me confiais à lui. Dans la vie quotidienne cela se passait très bien, il était facile à vivre, on était content de se voir le matin, se croiser à la salle de bain n’était même pas un problème comme ma haine de la promiscuité aurait pu me le faire penser. Mais ma manie de ’faire le tour de la question’ m’obligea à m’arrêter un instant sur ce changement en moi-même. Rien en effet de ce qui m’insupportait d’ordinaire ne me déplaisait ici. Que se passait-il ? Une nouvelle gêne, un peu similaire à ce que j’avais éprouvé en cours d’année se développa une fois de plus ; et avec ceci que j’avais l’impression que Cédric aussi la partageait. Evidemment on ne se disait rien. Mais les efforts pour ne pas se croiser à la salle de bain, pour éviter les situations ambiguës, pour éviter de se déshabiller l’un devant l’autre, tout cela commençait à peser un peu. Un jour d’ailleurs que je dînais chez mes parents, mon père fit une blague pas méchante mais allusive sur le fait que je vivais avec un garçon, une blague sans arrière-pensée bien sûr, mais je me mis à rougir, ma mère dit un truc pour essayer de faire passer la gêne, et il n’en fut plus question. Pire, en rentrant j’en fis part à Cédric, que cela ne fit pas rire. Nous n’en reparlâmes que le soir alors que nous étions tous les deux couchés. Et on en vint à la conclusion qu’il devait passer dans l’amitié une certaine forme d’amour, et que cela n’allait pas sans gêne. Ce n’était pas optimal comme raisonnement mais il nous arrangeait.

La fin de nos travaux respectifs eu lieu dans ce contexte un peu apaisé. Le travail nous ayant permis par ailleurs d’éviter de nous poser trop de questions. Anne n’appelait plus. Lui et moi sommes allés rendre nos mémoires ensemble, tout content du travail effectué. Une espèce de joie bête s’était emparée de nous deux. Il était convenu que je restai encore un jour ou deux chez lui, au cas où le prof aurait eu le temps de lire un peu et aurait déjà des remarques à faire. De fait nous n’avions pas envie de nous quitter. On faisait les cons, on se faisait des blagues, on se disait des ’je t’aime’ pour déconner’, bref on en profitait pour se libérer un peu de toute la pression accumulée. Notamment autour de ce non-dit de l’amour dans l’amitié. Le soir il m’invita au restaurant (il avait des moyens bien supérieurs aux miens), et le délire continua d’autant que nous avons un peu bu. On était dans une effervescence lui et moi, il se passait quelque chose.

Nous sommes rentrés vers minuit, un peu saouls, et on est vite tombé d’accord de ne pas installer le matelas. On s’est mis en caleçon et tee-shirt avant de nous glisser sous la couette. On a parlé un peu de la journée, puis pour déconner on s’est fait un baiser sur la bouche. Qui n’aurait pas du être si long. On s’est regardé d’une drôle de façon. Puis on s’est dit bonne nuit. J’avais une érection. J’attribuais ça au fait que cela faisait plus d’un mois que je n’avais pas fais l’amour. En même temps ce baiser ne m’avait pas paru incohérent. Je pense m’être endormi sur cette question.

Plus tard il devait être très tôt, le jour était à peine levé, j’étais entre veille et sommeil, et je me trouvais blotti contre lui, avec une très forte érection. Il devait la sentir s’il ne dormait pas. J’entendais sa respiration régulière. Je n’arrivais pas à me détacher, je devais me retenir de faire le moindre mouvement. J’ai du me rendormir, pas longtemps, mais il avait changé de position. On était maintenant l’un contre l’autre, nos bouches très proches ; enlacés. Oui enlacés ! Tout cela avait lieu dans une espèce de sommeil, nous ne contrôlions rien. Nos poitrines se touchaient et il manquait peu de choses pour que le reste du corps en fasse autant. Ce qui faisait que j’étais quand même un peu réveillé c’était l’érection monumentale que j’avais. Il fallait absolument, je me souviens de cette pensée, il fallait absolument à ce moment -là que mon pénis soit près du sien. En quelques mouvements très discrets j’ai commencé à sentir quelque chose de dur et chaud. Nos caleçons étaient trempées et ce que l’on sentait était humide. Nous fîmes alors des mouvements communs de rapprochements, de manière à mieux nous sentir. De fait nous étions réveillés mais dans l’état second du désir. Nous allions inéluctablement vers un rapport sexuel. Vers un rapport homosexuel. Mais cela ne m’apparaissait pas encore comme ça. J’avais juste envie de nous sentir nus, et de l’embrasser. C’est moi qu’ai posé mes lèvres sur les siennes. Elles sont restées un peu avant qu’ils ne les ouvrent. Quand elles se sont ouvertes et que nos langues se sont mêlées, il a ouvert les yeux, et nos regards amoureux ont déclenché une nouvelle phase de nos ébats. Nous venions de donner chacun notre accord. Je pouvais si je le voulais baisser mon caleçon, il pouvait baisser le sien. Nos pénis pouvaient se toucher. Nous pouvions nous embrasser dans le cou, nous caresser la tête, nous frotter encore et gémir. Nous pouvions avec nos mains disposer un peu mieux nos pénis l’un contre l’autre. Sensation étrange et enivrante de toucher le sexe d’un garçon ! Il y avait trop de désir contenu pour que nous puissions longtemps nous frotter comme ça et, sans cesser de nous embrasser, nous avons éjaculé sur nos ventres et nos sexes. Nous gémissions.

Je me suis réveillé à peu près dans la même position. J’étais contre un garçon. Tous les deux nous sentions le sperme. Je me souvenais l’avoir embrassé sur la bouche. J’étais en train véritablement de prendre conscience de ce qui s’était passé. Je crois qu’ensuite nous avons recommencé (je le sais bien) à nous embrasser et à nous frotter. Je n’osais pas lui dire que j’avais envie de toucher son pénis, de m’en frotter tout le corps, de l’approcher de mes lèvres. Alors on a continué. Et on s’est de nouveau éjaculé l’un sur l’autre. C’était frénétique. Je n’avais jamais ressenti une telle excitation, je n’avais jamais joui comme ça. Je crois que ce jour-là nous avons été incapables de nous parler, nous étions à la fois submergés par le désir et abasourdis par ce qui nous arrivait. Je n’arrêtais pas de me dire j’ai envie de ce garçon, j’ai envie de Cédric, son pénis j’ai envie de son pénis. On ne pouvait que se regarder s’embrasser, se toucher, se branler. À la fin de la journée, je lui ai dit que je rentrai chez mes parents. Je crois qu’il a compris, lui aussi devait avoir besoin d’un peu de temps. Arrivé chez eux j’avais l’impression que ce qui m’était arrivé se voyait, je suis vite devenu de mauvaise humeur, surtout quand ils m’ont parlé d’Anne. Alors je suis allé dans ma chambre. J’ai éprouvé le désir de me mettre nu, d’imaginer que Cédric et moi…

Le lendemain je l’ai appelé. Je lui ai dit que j’avais besoin de le voir. Il était d’accord, il fallait qu’on se parle. En le revoyant je me suis demandé ce qui m’était arrivé. C ’était juste mon ami. Cédric quoi ! Mais un ami qui était au fil du temps devenu autre. On s’expliquait maintenant. Je lui confiai la soudaineté de ce rapport sexuel. Jamais auparavant je n’avais éprouvé de désir pour un garçon. Je n’avais rien vu venir. Mais je ne regrettai pas pour autant. Juste j’avais l’impression d’être un peu ’changé’. On essayait d’être honnête, de faire vraiment le ’tour de la question’. Je lui expliquai donc que de le voir comme ça ne me faisait pas du tout comme quand je voyais ma copine et que j’avais envie de lui faire l’amour. Il me demanda si, placé dans les mêmes circonstances, j’aurais le même désir, je lui ai dit que je n’en étais plus sûr. Pour lui les choses avaient été un peu différentes. D’abord il avait des fantasmes homosexuels depuis l’adolescence. Mais ce n’était pas envahissant, il avait eu des relations avec des filles qui s’étaient très bien passées. C’est juste que de temps en temps quand il se masturbait il lui arrivait de se voir avec un garçon. Avec moi, il avait ressenti un ’truc drôle’ à peu près au même moment mais sans désir explicite. Il n’avait ’compris’ que le soir où j’étais rentré de chez mes parents. Il s’était promis de résister, mais il savait à ce moment là que je l’attirais. Il ne se posait pas la question de la suite, il voulait avant tout profiter de moi, de ma présence. Et c’est vrai qu’à part ça nous nous entendions à merveille. Pendant toute cette période j’avais très peu pensé à Anne. C’était le boulot, et parler avec Cédric. Au bout du compte, nous étions ’bien ensemble’. On pouvait dire avec certitude que Cédric avait une attirance pour les garçons, et moi sans avoir jamais connu pareille tentation… On tournait autour de la question, c’était dur de s ’avouer ’ça’.

Ce jour-là il ne s’est rien passé. Je suis parti en week-end avec mes parents. Cédric me manquait. On s’appelait tous les jours. J’ai aussi tenté de reprendre contact avec Anne mais elle faisait dire qu’elle n’était pas là. Je me masturbais en pensant à elle, mais j’éjaculais sans réel plaisir. Nous avons convenu avec Cédric qu’à mon retour nous partirions quelques jours. J’avertis alors mes parents que je partais avec une nouvelle copine. Ils étaient un peu tristes pour Anne qu’ils aimaient bien mais j’avais 23 ans donc je faisais ce que je voulais.

Et je me retrouvai une nouvelle fois chez Cédric, à discuter d’où nous pourrions aller. Je n’avais pas très envie de camper et d’aller à l’étranger, et comme lui, disons ses parents, avaient une maison dans le sud, près de la mer, on s’est décidé pour ça. Il y avait de la famille à lui mais c’étaient des gens adorables, avec qui je m’entendais très bien. On était perçu un peu comme des ’têtes’, et donc on était un peu les stars. On était deux amis, et nous jouions sans mal le rôle que la famille nous demandait de jouer. Je pensais parfois à notre aventure mais nous évitions le sujet. Je savais juste qu’il avait encore ’quelques fantasmes’. Le seul truc qui m’inquiétait un peu c’était que je ne regardais pas trop les filles. Pis encore, une de ses cousines m’avait clairement annoncé la couleur et j’avais fait celui qui ne voit rien. Je draguais vaguement sur la plage, mais c’était plus pour que cette fille cesse ses avances que pour réellement entreprendre quoi que ce soit.

Notre séjour, qui au départ ne devait durer qu’une semaine, se prolongea. Incidemment nous nous rapprochions. Nous multiplions les occasions d’être seuls tous les deux. Genre on partait tôt le matin à la pêche, on revenait le soir. On ne pêchait pas beaucoup mais on aimait à se trouver des coins sans personne. Je crois que le désir revenait. Je commençais franchement à avoir des érections en le voyant. J’avais envie que nos slips se touchent. Je repensais sans cesse désormais à nos ébats. Mais je n’osais pas. Je n’osais plus lui en parler. J’avais honte de ne penser qu’à ça. Le matin je le voyais ça commençait et ça ne me lâchait pas de la journée. Je me soulageais la nuit en pensant exclusivement à lui. Mais il ne se passait toujours rien. Ça nous bloquait. Je crois que lui ne pouvait pas, même seuls sur une plage, s’adonner à ça avec la perspective des soirées familiales.

Donc au bout de 15 jours on est rentré. Je n’ai pas prévenu mes parents et j’ai demandé à Cédric si je pouvais rester quelques jours de plus chez lui. Et là n’en pouvant plus, je lui ai parlé. Je lui ai dit à quel point j’avais eu envie de lui, à quel point je voulais qu’on recommence. Lui c’était pareil. Il fallait juste qu’on arrive à dépasser notre gêne. J’ai dit écoute montrons-nous nos pénis. Il a dit j’aime bien que tu dises pénis plutôt que bite. On se les est montré. Ils bandaient. On se touchaient, un peu timidement, en se regardant, mourrant d’envie de nous embrasser. Nous nous sommes rapprochés, tenant chacun le pénis de l’autre dans une main, et nos lèvres se sont unis. Ce fut un baiser très long. On branlait nos deux sexes l’un contre l’autre. Mais sortis de nos pantalons, ils ne se touchaient pas complètement. J’ai voulu lui baisser son pantalon, et je me suis retrouvé face à son pénis. J’en avais une envie folle, j’ai levé les yeux vers lui. J’ai alors pris son sexe dans ma bouche. Je suçais comme j’avais vu faire dans les films, c’est-à-dire en prenant le maximum dans ma bouche mais aussi je léchais la hampe, le gland, d’une autre main je caressais les testicules. J’étais dans un état d’excitation incroyable. Sucer me donnait du plaisir ! Me dire des mots comme ’j’ai le pénis de Cédric dans la bouche’, ou comme ’j’aime sucer un pénis’, achevaient de me rendre fou de désir. Je crois que j’avais envie de sperme, mais au moment où il a ’dit je vais jouir’, je l’ai retiré de ma bouche et il a joui en partie sur mon visage et mon torse. Il m’a branlé ensuite pour me faire jouir très vite, du sperme coulait encore sur mon visage.

En allant me nettoyer à la salle de bain, je me suis dit ’ça y’est je suis homosexuel’. J’en ai éprouvé de l’excitation. Ce jour-là a été consacré à la fellation. C’était surtout moi qui lui faisais. Lui il avait l’air de pas adorer. Après il m’a dit qu’il l’avait fait pour essayer, et pour me rendre ce que je lui avais donné. Moi j’aimais ça. Je ne me lassais pas de sucer, j’en avais mal à la bouche. Et l’odeur devenait de plus en plus forte. Pour ma part j’éjaculais en me frottant sur lui. On a passé quelques jours à ne faire presque que ça. À ne parler que de ça. On s’est aussi dit qu’on s’aimait.

Puis les choses sont allées en se compliquant. Je suis revenu chez mes parents, avec l’envie de dire à tout le monde que j’étais homosexuel. Je me sentais complètement différent. Mes envies se développaient. Je me sentais excité par l’anus. J’avais envie de voir le sien, de le toucher, de le lécher, et j’avais encore plus envie je crois qu’il me touche le mien, qu’il introduise un doigt. Il l’avait fait une fois. J’avais peur néanmoins du mot sodomie. Je fuyais l’idée d’un pénis en moi, mais elle revenait, et je savais que s’il me proposait j’aurai du mal à céder.

On était en septembre Anna appelait tout le temps. Elle voulait me voir, elle me demandait pardon. Je reculais le moment. Je lui avouai une relation ’de vacance’. C’était fini. Elle me pardonnai. Elle disait que c’était sa faute. Je lui disais que je doutais un peu. J’ai fini par donner une date, par me dire intérieurement ’à cette date là j’aurais choisi’.

Pour ça il fallait que j’aille au bout de ce désir d’anus. Cédric allait de plus en plus dans cette direction. Je me laissais faire avec grand plaisir, j’aimais être écarté sur le lit, et qu’il me branle et le pénis et l’anus en même temps. Je me sentais ’complètement moi’. J’étais à point pour lui dire ’prends-moi’. Les débuts furent douloureux, j’étais sur le dos et il voulait absolument rentrer par la force. Au final c’est à quatre pattes et par derrière que ça a marché. Formidablement bien marché. Je décuplais ma jouissance car la pénétration me procurait un orgasme au moins aussi fort que l’éjaculation. Même parfois j’éjaculais sans me toucher, juste parce qu’il avait trouvé le bon rythme en moi.

J’ai vu Anna à la date que j’avais fixée. En y allant je ne savais pas trop. Elle, elle pensait me retrouver fou de désir, et ce n’était pas ça. Mon anus se ressentait encore des nombreuses pénétrations de ces derniers jours. Même si j’étais encore susceptible d’éprouver du désir pour elle, je ne pouvais pas mentir. C’était dur à dire. Elle voulait faire l’amour. On a commencé à s’embrasser, à se faire un câlin. Et sachant que j’aimais bien ça, et vu peut-être aussi mon manque d’entrain, elle a voulu me faire une pipe. Je ne bandais pas. Ça ne m’était jamais arrivé. Elle a réessayé mais malgré ses efforts, je restais complètement à plat. J’essayais de me motiver en pensant à Cédric, mais c’était pire. Elle a commencé à me poser alors des questions. Pour elle j’avais passé la nuit avec une nana, c’était ça aucun doute. Si je l’aimais encore, elle était prête à oublier. Je lui ai alors dit que je n’avais pas rencontré de nana. Alors qu’est ce que j’avais fait ? J’avouais que j’étais devenu homosexuel.

Denis

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